La psychogénéalogie

La psychogénéalogie est claire. Notre famille est riche de conflits et de secrets dont nous héritons. Sans le savoir, nous reproduisons le comportement de l’un de nos ancêtres. Ou, au contraire, nous nous efforçons de nous en distinguer. Apprenez à repérer les schémas familiaux bloquants pour vous en libérer.

L’enfant a toujours l’intuition de son histoire si la vérité lui est dite. Cette vérité le construit.

Oui mais voilà, dans les familles, toutes les vérités ne sont pas bonnes à dire. Des événements honteux ou traumatisants qu’on préfère passer sous silence. Mais qui réussissent à se faufiler dans l’inconscient collectif de la famille.

Résultat, nous souffrons de souffrances passées non traitées par nos ancêtres. Les morts sont les invisibles, mais ils ne sont pas les absents. Plutôt des fantômes qui hantent nos arbres généalogiques et que la psychogénéalogie peut aider à remettre à leur place.

La psychogénéalogie pour se libérer

La psychogénéalogie est la libération de plusieurs choses. Ce sont des choses qui semblent ne pas vous appartenir, lorsque vous dites par exemple .  » C’est plus fort que moi, à chaque fois, ça revient, c’est comme ça et pas autrement « . Ce sont des choses qui sont dans votre quotidien et on en n’a pas forcément la compréhension.

Quand il va y avoir des répétions, comme par exemple . Pourquoi je tombe toujours sur des hommes qu’il faut sauver ?. Ou alors, j’ai plein de projets mais je ne les termine jamais.

Il peut y avoir des problèmes médicaux que la médecine traditionnelle ne peut pas guérir. Ou alors, des maux cycliques. Comme par exemple à chaque printemps, j’ai un rhume, chaque automne, j’ai un eczéma qui arrive. Ce sont des choses qui arrivent de manière cyclique.

Ou alors, des dates qui reviennent comme par exemple . Je me mets en couple toujours en septembre ou en séparation toujours à la même période. On a pas forcément la notion de ce qui nous arrive. Mais on les repère sans y mettre une raison de compréhension directe.

Les schémas répétitifs

On arrive pas à trouver la cause. A un moment donné, on se dit que c’est peut être une coïncidence. Mais si c’est répétitif, ce n’est plus une coïncidence. Se sont les schémas répétitifs qui se répercutent tout au long de notre vie.

La psychogénéalogie n’est pas un dogme, c’est un outil, c’est une spécialité. On peut avoir des problèmes intergénérationnels dans le présent avec des choses qui nous arrivent actuellement. Mais, à côté de ça, quand on connaît son passé, il est plus facile de travailler sur son avenir.

En psychogénéalogie, on part du principe que lorsque l’on naît, il va y avoir un papa et une maman. Qui vont avoir un papa et une maman qui eux aussi, vont avoir un papa et une maman. D’après les chercheurs et ça été prouvé, il va y avoir 98% de notre ADN qui ne nous appartiennent pas. Il appartient à quatre générations au dessus de nous.

Les traumatismes de nos ancêtres

Donc, on se trimbale les traumatismes de nos ancêtres. Si une personne vit normalement et un jour, cette personne subi une agression. Ce traumatisme va être marqué dans son ADN par le choc émotionnel. Si cette personne ne résout pas ce problème et reprend une vie normale. Et 5 ans plus tard a un enfant, il est possible que l’ADN soit toujours marqué par le traumatisme.

On est une génération, pour les plus de 40-50 ans, ou nos ancêtres ont connu la guerre. Ils ont connu la guerre et après ça, ils ont repris une vie normale et ont fait des enfants. Si vous avez eu une arrière grand-mère qui a subi une séquestration pendant la guerre. Il se peut que l’arrière petite-fille ou l’arrière petit-fils souffre de claustrophobie dans un ascenseur. Ceci est un exemple, pour faire comprendre le traumatisme de nos ancêtres.

Alors qu’il n’est rien arrivé à l’arrière petite-fille ou l’arrière petit-fils qui pourrait expliquer la peur dans l’ascenseur. C’est à ce moment là que la psychogénéalogie peut aider.

Alors là, vous allez me dire, c’est facile. Il n’y a qu’à remonter notre arbre généalogique, déterrer le problème, et ça y est, on est guéri. Et bien non, ça ne se passe pas comme ça.

Parce qu’il y a une différence entre la compréhension et la prise de conscience. Pour qu’il y ait une prise de conscience, il va falloir faire des actes symboliques pour arriver à la guérison. Cela peut être de l’hypnose ou un travail sur soi.

Pour revenir à l’exemple de l’arrière-grand-mère, travailler sur soi comme si c’est nous qui avons subi la séquestration. Faire les mêmes protocoles d’accompagnement thérapeutiques pour une personne ayant subi une séquestration et, dans ce cas-là, on peut guérir.

Psychogénéalogie (guide-genealogie.com)

Connaître le passé est une manière de s’en libérer Raymond Aron

Il est parfois difficile de remonter notre arbre généalogique. Mais vous pouvez guérir les blessures du passé avec cette séance d’hypnose de Bulles de Légèreté

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