Apprendre de ses erreurs

C’est donc un article sur l’échec, c’est pour voir l’échec et aussi l’erreur. Donc l’échec c’est le fait de ne pas réussir. Par exemple, on échoue à un contrôle, on échoue à un examen ou on ne réussit pas à expliquer quelque chose à quelqu’un. Cela peut être mon cas, surtout si je suis en visioconférence. Donc c’est de ne pas réussir quelque chose.

Et l’erreur en revanche, c’est un acte de l’esprit qui tient pour vrai ce qui est faux. Et réciproquement, c’est l’état d’une personne qui donc se trompe. Cela peut-être aussi une action incorrecte ou inexacte. Par exemple, on peut se tromper dans un calcul, on peut se tromper dans un raisonnement, on peut se tromper sur quelqu’un, on peut aussi se tromper sur soi-même.

On peut être par exemple, dans l’illusion de l’apprentissage, ce qui est très gênant, on peut croire que l’on sait et en réalité, on ne sait pas et donc, dans l’échec.

Dans tous les cas, il faut accepter d’échouer, accepter de se tromper pour comprendre et dans le cas de l’erreur, il faut se corriger, recommencer et puis, dans le cas d’un échec et bien, il faut essayer de faire mieux la prochaine fois. Soit en faisant autre chose ou en faisant différemment. Tout dépend de ce qui est à recommencer.

Une autre façon de le dire est que l’on peut apprendre une langue étrangère en audio mais le jour de l’examen, on échoue car on a jamais pratiqué au quotidien. Il faut se tromper, ce n’est pas grave.

Priver le cerveau de la possibilité de commettre des erreurs c’est bloquer ses processus d’apprentissage.

I. Le Brun CRNL Meunier

La possibilité de commettre des erreurs, c’est bloquer le processus d’apprentissage. Essayez, trompez vous c’est pas grave, mais participer c’est essentiel. Bien sûr tout ça dans un climat de bienveillance. Alors, vous avez la mienne mais il faut aussi que le climat de bienveillance soit entre vous. Ecoutez-vous et respectez vous.

Apprendre de ses erreurs : ce n’est pas une utopie (penser-et-agir.fr)

Agissez

Ne vous prenez pas la tête, foncez. Il n’y a qu’en fonçant, en agissant que l’on va pouvoir apprendre et progresser. Il vaut mieux être en bas de l’escalier que l’on veut monter plutôt qu’en haut où vous ne voulez pas être. Beaucoup de personnes sont en haut de l’escalier, dans un job qui ne leur convient pas et ils sont coincés, parce que finalement, il va falloir repartir du début pour reprendre un métier qu’ils leur convient mieux. Et bien, cela nous arrive à tous et on est tous parfois obligés de repartir du début, de monter un escalier depuis la première marche.

Il vaut mieux être en bas de l’escalier plutôt qu’en haut où vous ne voulez pas être. Une reconversion ne se fait pas du jour au lendemain, ce n’est pas les diplômes qui vont nous dire si on est bon ou pas. C’est vraiment l’expérience et le fait d’y aller et de pratiquer, il n’y a que ça de vrai. Donc, on apprend de ses erreurs et on continue.

Ne jamais perdre de vue son but ultime

Et je pense qu’une fois qu’on a cela en tête, on est toujours focus sur ce que l’on a vraiment envie d’apporter. Et bien finalement, c’est ça qui va nous porter à l’étape supérieure. C’est ça qui va faire qu’on ne va peut-être pas lâcher. Légèrement, rediriger ce que l’on fait, légèrement modifier pour que ce soit un petit peu plus agréable pour nous et que ce soit aussi de mieux en mieux pour que l’on puisse devenir meilleure.

Et l’idée est de ne jamais perdre de vue son but ultime. Alors, dans votre métier, est-ce qu’il y a des choses où parfois, vous avez envie d’abandonner ? Est-ce qu’il y a des fois des choses qui vous prennent un petit peu la tête ? Est-ce que vous prenez le temps justement de vous poser la question : Quel est mon but ultime ? De quoi j’ai envie ?

Ne rien regretter

Sur mon lit de mort, qu’est-ce que j’avais envie d’accomplir ? Qu’est-ce que je n’ai pas envie de regretter ? Qu’est-ce que je me dirais ? Est-ce que je dirais : Et bien mince, j’aurais dû faire ça, j’aurais tant aimé pouvoir apporter telle chose à quelqu’un, j’aurais tellement aimé pouvoir plus partager, j’aurais tellement aimé faire ça. Et s’il y a vraiment quelque chose que vous auriez aimé faire et bien, un conseil, allez-y, essayez à une petite échelle. Si vous voulez être conférencier, commencez peut-être par faire un blog, je ne sais pas mais voilà, s’il y a vraiment un but ultime que vous avez et bien, allez-y. Faites ce que vous avez à faire à une petite échelle.

Le but est de ne pas perdre de vue votre but ultime et la question est. Si je n’avais plus que quelques jours à vivre, qu’est-ce que je ferais en premier ? Je sais que c’est un petit peu morbide comme question, ça peut paraître un peu triste, mais en fait, ça ne l’est pas du tout. Si on le prend de façon un petit peu légère et qu’on se dit :  » C’est quoi mes priorités ? Qu’est-ce que j’ai envie d’apporter avant de partir ?

Remises en question

Et bien souvent, les échecs, ça nous permet de faire ça. Pas forcément des échecs qui ont besoin d’être gros mais des remises en question. Cela permet justement de se recentrer et de ne pas perdre de vue son but ultime. Et moi, mon but ultime est d’apporter de la valeur et une réflexion aux gens.

C’est pour ça que j’ai fait ce blog et puis aussi, j’ai envie de répandre tout ce que j’ai appris par mes lectures afin d’être mieux dans sa vie. De faire en sorte de devenir la meilleure version de nous-mêmes. Donc ça c’est aussi quelque chose qui me tient à cœur. Puis j’ai envie de donner aux jeunes le courage d’agir, le courage de s’accomplir, d’être vraiment qui ils sont. Et c’est ça aussi qui me fait dire mais pourquoi je me prend la tête à vouloir faire trop bien ? A vouloir faire trop perfect ? Je ne suis pas parfaite, la vie est comme ça, personne n’est parfait. Donc allons-y quoi, montrons nous tel que nous sommes avec nos qualités et nos défauts.

Donc vraiment, j’ai envie de donner ça, d’apporter ça, de pouvoir permettre aux gens de s’affirmer tels qu’ils sont, de s’assumer, d’agir et d’accomplir ce qu’ils ont besoin d’accomplir. Parce que ce n’est que comme ça que l’on est heureux finalement. Il n’y a qu’en s’accomplissant que l’on va être heureux profondément. Vraiment, j’ai envie de donner le courage aux gens d’agir et de s’accomplir. Et enfin et bien de leur donner le courage de vivre de leurs passions, parce que c’est une démarche que j’ai fait moi-même. Je sais que c’est possible et je sais qu’en effet, cela demande du courage, de la patience, du travail mais c’est possible et c’est tellement gratifiant.

J’aimerais vous poser cette question, que vous repartiez avec cette question : Si vous n’aviez plus que quelques mois ou quelques jours à vivre, que feriez-vous ? Par quoi est-ce que vous commenceriez aujourd’hui ? Donc, quel est votre but ultime ? Qu’est-ce que vous avez envie d’apporter et donc du coup, quel va être le premier pas vers ce but ultime ?

La liberté n’a pas de valeur si elle ne comprend pas la liberté de faire des erreurs.

 Mahatma Gandhi

J’espère que cet article vous aura permis de réfléchir.

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